D’après une étude, la procrastination touche environ 50 % des étudiants, et 30 % en moyenne de la population adulte.
Des chercheurs ont suivi 3 525 étudiants dans plusieurs universités de Stockholm, et des environs, ces étudiants étaient priés de répondre à des questionnaires tous les trois mois pendant une année, le résultat : est que les étudiants qui ont tendance à procrastiner, seraient susceptibles de développer une dépression de l’anxiété et du stress au bout d’un moment.
Ils ont également constaté que ces étudiants sont susceptibles de ressentir de la solitude et d’avoir une mauvaise qualité du sommeil.
Grâce à cette étude, ils ont découvert qu’il y avait un lien entre la tendance à temporiser et une mauvaise santé. Les scientifiques affirment que les étudiants qui ont tendance à procrastiner sont souvent tentés de reporter des rendez-vous médicaux, en conséquence, ils peuvent développer des problèmes de santé qui n’ont pas lieu d’être.